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    Caractère

    husky

    Le husky de sibérie reste par définition l'exemple même du chien de meute avec une organisation sociale claire et transparente à l'image de celle de son grand frère le loup. Contrairement aux idées reçues, la dominance n'est pas le domaine réservé du mâle, bien au contraire, puisque c'est bien la femelle Alpha qui va diriger son groupe. Le mâle dominant étant non seulement hiérarchiquement le seul mâle à pouvoir reproduire, il reste en observation en cas de mise au pas par la femelle dominante et interviendra en fonction de la situation uniquement si c'est nécessaire pour défendre sa promise. Car on parle bien de promise, dès le moment où, sous peine d'exclusion du groupe, c'est la seule qui a le droit de reproduire. Mais évidemment tout cela est bien remis en question dans l'élevage, et nous arrivons quand même à faire en sorte que toutes nos femelles puissent avoir des bébés.

    Quand aux conséquence de cet aspect de sa personnalité, elles sont sans conséquence quand on a à faire qu'à un ou deux individus et la hiérarchie n'est pas un problème en soi, puisqu'elle concerne directement le groupe de chiens, qui règle ce problème à leur façon, bien entendu, souvent sans que cela ne dégénère en conflit généralisé ou qu'il y ait de la casse. Les codes de dominances sont très clairs entre eux.

    husky

    Le problème est un peu différent quand il s'agit de la même hiérarchisation et qu'elle doit être établie avec des Yorkshire par exemple, dans ce cas, comme la codification n'est pas la même et que ce petit bout ne respecte pas ces règles là, y a qu'à voir son attitude avec les autres chiens, il y a alors incompréhension entre eux et cela peut dégénérer. Attention donc à cela.

    Le rapport avec l'homme est parfait et il faudra vraiment beaucoup de cruauté pour qu'un Husky devienne agressif, et je ne suis pas encore certain qu'il réagisse, je pense qu'il aura plutôt l'attitude du loup, qui fuit tout simplement pour ne pas affronter le problème en face. Pour ce qui est des enfants... c'est la complicité absolue et sans limite, aucun problème quel que soit l'âge des enfants et même si ceux-ci n'ont pas toujours des gestes très respectueux, le husky ne leur en tiendra pas rigueur. Maintenant à vous aussi de veiller à ce que vos chérubains apprennent à respecter la vie et les êtres vivants.

    Dans son rapport avec les étrangers, avec la notion de propriété ou de garde, vous oubliez tout de suite de vouloir rendre un Husky gardien, c'est impossible, il aime trop l'homme pour pouvoir être autrement que câlin avec tout le monde, c'est un ange de douceur et de générosité, plutôt extravertis et très expressif. Donc aucun risque avec les voisins, les visiteurs amis ou ceux que vous ne souhaiteriez pas voir ... il ne leur fera rien, par contre, il risque bien de leur exprimer son plaisir à les rencontrer en leur sautant dessus, ce qui fait que vos visiteurs à cravates préféreront soit vous appeler à la rescousse soit partir pour ne pas salir leurs beaux costumes.. Donc l'effet dissuasif et plutôt lié au trop plein d'amour de l'hommeque le husky a dans sa nature.

    husky

    La relation au sport
    Le husky est évidemment prédestiné au sport ou du moins aux activités sportives sans qu'elles soient obligatoirement dans l'esprit de la compétition. La particularité du Husky de compétition par rapport au Husky de famille, est évidemment la montée d'adrénaline qui font monter en pression avant le départ, chose que l'on trouve nettement moins dans nos lignées mais ce qui ne les empêche pas d'être performant si nécessaire.

    Le rappel
    De par son indépendance, tout en étant dépendant relationnellement parlant de l'homme, le husky n'est pas un chien de super rappel, retour au pied à l'image des dresseurs, mais cela fait aussi partie de son charme et de sa personnalité. Toutefois, il est parfaitement possible de gérer un husky en pleine liberté sans trop de difficulté, mais bien entendu il faut au minimum que le climat de confiance et la qualité relationnelle avec le mâitre soient présents, mais évidemment se donner les moyens de nos ambitions.

    En bref, on dira que le husky est certainement le chien qui aime le plus les gens et qui les respectent totalement, sans problème aucun, il a un caractère facile tout en étant indépendant, pas envahissant ni collant, mais très fusionnel quand même. C'est un chien de meute hyper sociable destiné qu'à des passionnés et amoureux qui le connaissent bien.


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    HUSKY SIBERIEN : Standard officiel - origine : SCC

     

    • TRADUCTION : Prof. R. Triquet et Dr. J.-M. Paschoud.
    • ORIGINE : U.S.A.
    • DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D’ORIGINE EN VIGUEUR : 02.02.1995.
    • UTILISATION : Chien de traîneau.

       

      Aspect général : Le Husky de Sibérie est un chien de travail de taille moyenne à la démarche légère et vive. Il est dégagé et élégant dans ses allures. Son corps modérément compact couvert d’une bonne fourrure, ses oreilles droites et sa queue en brosse bien fournie évoquent son hérédité nordique. Son allure caractéristique est unie et apparemment facile. Il remplit avec la plus grande compétence sa fonction d’origine de chien de trait en tirant une charge légère à une vitesse modérée sur de grandes distances. Les proportions et la forme de son corps dénotent cet équilibre fondamental de puissance, de rapidité et d’endurance. Les mâles de la race sont masculins, mais jamais grossiers dans leurs formes ; les femelles sont féminines, mais sans faiblesse dans leur structure. Le Husky de Sibérie, en bonne condition, doté d’une musculature ferme et bien développée, n’a pas de poids superflu.

      Proportions importantes : Vu de profil, le corps, de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse, a une longueur légèrement supérieure à la hauteur au garrot. La distance de la truffe au stop est égale à la distance du stop à l’occiput.

      Comportement / Caractère : Le Husky de Sibérie se caractérise par sa gentillesse et par la douceur de son tempérament ; il est également éveillé et sociable. Il ne dispose pas du naturel possessif d’un chien de garde, ne témoigne pas d’une méfiance extrême envers les étrangers et n’est pas agressif envers les autres chiens. Chez l’adulte, on peut trouver, dans une certaine mesure, de la réserve et de la dignité. Son intelligence, sa docilité et son désir de plaire font de lui un compagnon agréable et un travailleur plein de bonne volonté.

      Tête :
       

       

      Région Crânienne :
      • Crâne : De taille moyenne, bien proportionné au corps. Le sommet est légèrement arrondi. Il va en s’amenuisant graduellement du point le plus large jusqu’aux yeux.
      • Stop : Bien marqué.

        Région Faciale :
      • Truffe : Noire chez les chiens gris, fauves ou noirs ; elle est de couleur foie chez les chiens à robe rousse (dite cuivrée) ; elle peut être de couleur chair chez les chiens tout blancs. La truffe rayée de rose dite « truffe de neige » est acceptable.
      • Museau : De longueur et de largeur moyenne, il va en diminuant graduellement vers la truffe ; le bout du museau n’est ni pointu ni carré. Le chanfrein est droit du stop à l’extrémité du museau.
      • Lèvres : Bien pigmentées et s’adaptent exactement.
      • Mâchoires/dents : Articulé en ciseaux.
      • Yeux : En forme d’amande, moyennement espacés et disposés très légèrement en oblique. Ils peuvent être de couleur marron ou bleue. On accepte un oeil de chaque couleur ou l’oeil hétérochrome. Expression vive, mais amicale et même malicieuse.
      • Oreilles : De grandeur moyenne, de forme triangulaire, rapprochées et attachées haut sur la tête. Elles sont épaisses, garnies d’une bonne fourrure, légèrement arquées dans leur partie postérieure et portées bien droites. L’extrémité légèrement arrondie pointe droit vers le haut.

         

       

       

      Cou : De longueur moyenne, galbé et porté fièrement dressé quand le chien est en station debout. Au trot, l’encolure s’étend de sorte que la tête est portée légèrement en avant.

      Corps :

    • Dos : Droit et solide ; la ligne du dessus est horizontale du garrot à la croupe. Il est de longueur moyenne, ni court comme chez les chiens cob, ni insuffisamment soutenu par suite d’une longueur excessive.
    • Reins : Tendu et sec, plus étroit que la cage thoracique et légèrement remonté.
    • Croupe : Inclinée par rapport à la colonne vertébrale, mais elle n’est jamais avalée au point de gêner la poussée de l’arrière-main.
    • Poitrine : Haute et forte, mais pas trop large ; le point le plus bas est situé juste derrière et au niveau des coudes. Les côtes sont bien cintrées à partir de la colonne vertébrale, mais aplaties sur les côtés pour donner de la liberté aux mouvements.

       

      Queue : Bien fournie, la queue qui a la forme en brosse de celle du renard, est attachée juste en dessous du niveau de la ligne du dessus ; en général, quand le chien est attentif, elle est portée au-dessus du dos en une courbe gracieuse comme celle d’une faucille. Quand elle est portée haut, la queue ne s’enroule pas sur un côté ou l’autre du corps et elle ne doit pas se rabattre à plat contre le dos. La queue qui traîne est normale chez le chien au repos. Le poil de la queue est d’une longueur moyenne ; il a approximativement la même longueur sur le dessus, les côtés et le dessous de la queue, donnant ainsi l’aspect d’une brosse ronde.

      Membres :
       

       

      Membres antérieurs : Le chien en station étant vu de face, les membres antérieurs sont modérément espacés, parallèles et d’aplomb ; l’ossature a de la substance sans jamais être lourde. La longueur du membre antérieur, du coude au sol, est légèrement supérieure à la distance du coude au sommet du garrot. L’ablation des ergots aux antérieurs est admise.
      • Epaules et bras : L’omoplate est bien oblique. Le bras est légèrement oblique vers l’arrière, de la pointe de l’épaule jusqu’au coude ; il n’est jamais perpendiculaire au sol. Les muscles et les ligaments qui unissent l’épaule à la cage thoracique sont solides et bien développés.
      • Coudes : Bien au corps, sans être ni rentrés ni sortis.
      • Carpes : L’articulation du carpe est forte, mais flexible.
      • Métacarpes : Vus de profil, les canons métacarpiens sont légèrement obliques.

        Membres postérieurs : Le chien en station debout étant vu de derrière, les membres postérieurs sont modérément espacés et parallèles. En cas de présence d’ergots, il faut procéder à leur élimination.
      • Cuisses : Bien gigotées et puissantes.
      • Grassets : Bien angulés.
      • Jarrets : Bien dessinés et bien descendus.

        Pieds : De forme ovale, mais non allongés. Ils sont de grandeur moyenne, compacts et bien garnis de poils entre les doigts et les coussinets. Les coussinets sont durs et d’une bonne épaisseur. Les pieds ne sont tournés ni en dedans ni en dehors quand le chien se tient en position naturelle.

         

       

       

      Allures : L’allure caractéristique du Husky de Sibérie est régulière et apparemment facile. Il est rapide et léger dans sa démarche, et, dans le ring d’exposition, il faut le mener sans tendre la laisse, à un trot modérément rapide, de sorte qu’il présente une bonne extension des antérieurs et une bonne propulsion des postérieurs. Vu de face, au pas, le Husky de Sibérie ne forme pas une piste simple, mais quand la vitesse augmente, les membres s’inclinent graduellement vers l’intérieur si bien que les empreintes s’alignent juste dans l’axe longitudinal du corps. Alors que les empreintes convergent, les membres antérieurs et postérieurs se portent droit devant ; les coudes et les grassets ne tournant ni à l’intérieur ni à l’extérieur. Chaque postérieur se déplace sur la piste de l’antérieur du même côté. En action, la ligne du dessus demeure ferme et horizontale.

      Robe :
       

       

      Poil : Le poil du Husky de Sibérie est double et de longueur moyenne, donnant un aspect bien fourni ; cependant il n’est jamais long au point de cacher les lignes nettement dessinées du chien. Le sous-poil est doux et dense et d’une longueur suffisante pour soutenir le poil de couverture. Le poil de couverture est droit et quelque peu couché ; il n’est jamais dur ni planté dressé sur le corps. Il faut noter que l’absence de sous-poil pendant la mue est normale. Il est permis d’égaliser les moustaches et le poil qui pousse autour du pied et entre les doigts afin de donner au chien un aspect plus soigné. Le toilettage du poil sur toute autre région du corps est impardonnable et doit être sévèrement pénalisé.

      Couleur : Toutes les couleurs sont admises, du noir au blanc pur. On rencontre communément diverses marques sur la tête, comprenant de nombreux motifs typiques que l’on ne trouve pas dans d’autres races.

       

       

      TAILLE ET POIDS :
       

    • Hauteur au garrot : mâles 21-23,5 pouces (53,5-60 cm)
      femelles 20-22 pouces (50,5-56 cm).
       
    • Poids : mâles 45-60 livres anglaises (20,5-28 kg)
      femelles 35-50 livres anglaises (15,5-23 kg).

      Le poids est en proportion de la taille. Les tailles mentionnées représentent les limites extrêmes de la taille et du poids sans préférence pour l’un ou pour l’autre des extrêmes. Tout signe d’excès dans l’ossature ou le poids doit être pénalisé.

       

      Récapitulation : Les caractéristiques les plus importantes du Husky de Sibérie sont sa taille, son ossature modérément développée, ses proportions harmonieuses, l’aisance et la liberté de ses allures, sa robe correcte, sa tête et ses oreilles plaisantes, sa queue correcte et son bon naturel. Tout signe d’excès dans l’ossature et le poids, toute allure contrainte ou gauche, et tout poil long ou rude doivent être pénalisés. Le Husky de Sibérie n’a jamais un aspect lourd et grossier au point d’évoquer un animal de trait puissant. Il n’est pas non plus léger et fragile au point d’évoquer un animal conçu pour les courses de vitesse sur petites distances. Dans les deux sexes il donne l’impression d’être capable de beaucoup d’endurance. En plus des défauts précédemment notés, les défauts évidents de structure communs à toutes les races sont à éviter chez le Husky de Sibérie autant que dans n’importe quelle autre race, quand bien même ils ne seraient pas spécifiquement mentionnés dans le standard.

      Défauts : Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité. • Crâne : Tête lourde ou disgracieuse ; tête trop finement ciselée. • Stop : Insuffisant. • Museau : Trop en sifflet ou trop grossier ; museau trop court ou trop long.

    • Mâchoires / dents : Tout autre articulé qu’en ciseaux.
    • Yeux : Disposés trop obliquement, trop rapprochés.
    • Oreilles : Trop grandes par rapport à la tête, trop écartées, pas portées bien droites.
    • Cou : Encolure trop courte et épaisse ; cou trop long.
    • Dos : Peu soutenu ou faible ; dos de carpe ; ligne du dessus inclinée.
    • Poitrine : Trop large ; côtes en cercles de tonneau ; côtes trop plates ou trop faibles.
    • Queue : Rabattue sur le dos ou très enroulée ; queue très empanachée ; queue attachée trop bas ou trop haut.
    • Epaules : Droites ; mal attachées.
    • Membres antérieurs : Faiblesse des canons métacarpiens ; ossature trop lourde ; devant trop large ou trop étroit ; coudes sortis.
    • Membres postérieurs : Angle du grasset trop ouvert ; jarrets de vache ; arrière trop étroit ou trop large.
    • Pieds : Doigts mous ou affaissés ; pieds trop grands ou disgracieux ; pieds trop petits et délicats ; pieds tournés en dedans ou en dehors.
    • Allures : Raccourcies, heurtées, sautillantes ; pas pesant ; chien qui roule dans ses allure, qui croise ou marche en crabe.
    • Poil : Long, rude ou hirsute ; texture trop dure ou trop soyeuse ; tout toilettage à part ce qui est permis dans ce qui précède.

       

      Défauts éliminatoires : Mâles dont la taille dépasse 23,5 pouces (60 cm) et femelles dont la taille dépasse 22 pouces (56 cm).

      N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.

     

    Alors un peu d'information sur ma race ^^

     

    Le standard ou comment le husky doit etre pour etre un husky XD... attention hein c'est du blabla d'humain serieux ^^

     

     

     


    1 commentaire
  • Un peu d'histoire aussi c'est pas mal ^^

     

    LES ORIGINES

    LE CHIEN DES TCHOUKTCHES , Originaire de Sibérie orientale, le siberian husky serait apparu il y a 2000 ans av. J.-C., auprès des Tchouktches ou Chukchis, un peuple d'origine paléosibérienne. Quoique peu nombreux, ces éleveurs de rennes vivent encore aujourd'hui en semi-nomades, dans une région qui s'étend du fleuve Kolyma à la presqu'île de Tchou- kotka, en face de l'Alaska;

    Dans les conditions particulièrement rudes de l'Arctique, les chiens aident les Tchouktches dans leurs tâches quotidiennes : la chasse, la pêche, la garde et bien sûr la traction des traîneaux lors des déplacements. Les chiots sont les compagnons de jeu des enfants qui les intègrent à la vie familiale et leur font partager l'habitat. En 1867, les États-Unis rachètent l'Alaska aux Russes pour une somme dérisoire. Peu de temps après, des gisements d'or sont découverts déclenchant une véritable ruée. Dans ces contrées enneigées, les traîneaux à chiens sont le seul moyen de transport. Toutes sortes de chiens sont recrutées pour répondre à la demande. Les premières courses de vitesse sont organisées au début du siècle. Désireux de participer à ces compétitions, un marchand de fourrure russe, William Goosak, importe neuf chiens des Tchouktches en Alaska et les fait participer en 1909 à la mythique Ail Alaska Sweepstakes, longue de 656 km.,Les moqueries des concurrents critiquant l'allure chétive de ses chiens tarissent rapidement ; Goosak et sa meute remportent la troisième place. Dès lors, de nombreux chiens sibériens sont importés et des élevages se créent. De compétition en cométition, cette race remporte un tel succès qu'elle ne tarde pas à s'imposer définitivement.

    En Alaska, " husky " désigne tous les chiens utilisés pour tracter des traîneaux ou pour chasser le phoque et signifie " enroué ". Cette dénomination convient parfaitement au siberian husky. S''il sait hurler à merveille, ce chien ne sait en revanche pas aboyer et se contente d'émettre un son rauque pour communiquer.

    En 1930,l''American Kennel Club reconnaît officiellement le siberian husky. L'arrivée de cette race en France en 1972 déclenche un véritable engouement auprès du public. En huit années seulement, sa population grimpe à 25 000 individus. Prisé pour sa beauté sauvage, son look de loup, son " authenticité ", il est acheté sans discernement durant une vingtaine d'années par des personnes ignorant tout de ses besoins et de son caractère. Ce succès s'est conclu par une triste affluence des huskies dans les refuges pour animaux. L'élevage intensif qui s'est développé pour répondre à la forte demande a bien sûr nui à la qualité tant physique que psychique des huskies. Aujourd'hui, au grand bonheur des éleveurs sérieux et passionnés de la race, la " huskymania " s'est atténuée. Le public a enfin pris conscience des impératifs du husky : disposer d'espace, de temps et assurer à cet athlète canin un entraînement quotidien


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